Infos sourcées - "santé globale" : environnement, biodiversité, climat, santés humaine et animale

2012 04 beijing 15879 pixabayPékin est la grande ville où l'approvisionnement en eau est le plus compliqué au monde : depuis mai 2011, la disponibilité en eau dans la capitale de la Chine a chuté jusqu'à atteindre moins de 100 m3 par habitant, dix fois moins que le seuil de carence de 1 000 m3 d'eau par an et par habitant.

Il faut dire que la ville a explosé : elle compte 20 millions d'habitants en 2012, contre 13,6 en 2000...


Les solutions envisagées par le gouvernement pourraient avoir des conséquences environnementales et sociales dramatiques : les nappes souterraines sont déjà surexploitées et les détournements de fleuves - en plus de favoriser leur pollution - soulèvent de nombreux problèmes pour la population.

Reste la désalinisation de l'eau de mer, grâce à une usine de dessalement en construction.

Source 
Courrier International


Référence : Disponibilité d'eau : les différents seuils (m3/habitant/an)


Sciences participatives

Infos "repères"

Infos en cartes

Infos en vidéo

Livres

A lire ailleurs

Quelques petites astuces basse technologie pour économiser l'énergie

Reporterre a réalisé une vidéo intéressante sur quelques petites astuces low-tech (basse technologie) pour économiser l'énergie : mention spéciale au "meuble-frigo d'hiver" accessible par une fenêtre.

logo reporterreà lire sur reporterre.net

More articles [EN]

The wet desert

2016 11 06 the wet desert video

england 150397 pixabay mini "Somewhere here, a landscape has been lost...". In UK, landscapes such as the Highlands of Scotland, The Lake District and Dartmoor are symbols of wilderness. However, these places have been farmed, mined and inhabited by people for millennia. In hidden corners of the moor, relics of its past cling on relics that point to the bizarre fact that when humans first arrived here, these open landscapes were temperate rainforests.

2016 11 06 the wet desert video


A lire ailleurs

Travail domestique en France : 33% du PIB pour 160% du travail rémunéré ?

Cela ne vous surprend pas, vous, un travail qui représente 160 % du temps total de travail rémunéré et qui n’est évalué qu’à 33 % du PIB ? Cet écart inouï entre les 33 % et les 160 % laisse entendre qu’une heure de travail domestique produit en moyenne une « valeur » près de 5 fois moindre qu’une heure de travail rémunéré dans la « vraie » économie.

logo blog jean gadrey AEà lire sur le blog de Jean Gadré (Alternatives économiques)